Yohannes a visité les studios Harry POTTER

Dans les célébrités éternelles venues d’Angleterre, il y a bien entendu Sherlock Holmes, mais il y a surtout Harry Potter.

Quand on est lycéen de 15 ans comme Yohannes ou collégien de 13 ans comme son frère Axel, Harry Potter fait partie de la culture de base. C’est donc tout à fait naturel que les deux adolescents rêvent d’en savoir plus sur leur héros.

Et pour ce faire, quoi de mieux que d’aller aux sources même de la saga : les Studios Harry Potter à Londres ?

Nous sommes accueillis par un immense dragon dans le hall d’entrée des studios. Nous entrons directement dans la salle de cours de Poudlard.

L’impression est saisissante et les deux frères n’en finissent pas des relever les détails qui leur donnent la sensation d’être les nouveaux apprentis sorciers qui vont devoir se familiariser avec l’élaboration de potions, le pilotage de balais volants, la maîtrise des baguettes magiques et les tournois endiablés de Quidditch.

Yohannes nous parle de la cape d’invisibilité qu’il aimerait bien revêtir de temps en temps.

Nous visiterons la maison des affreux Dursley où Axel va essayer d’ouvrir le placard sous l’escalier dans lequel se morfondait son héros. Puis il va piloter et tenter de faire voler la moto avec sa maman et son frère comme passagers.

Les salles suivantes nous permettent de mieux appréhender le travail des équipes dédiées aux décors, aux costumes et aux trucages. La forêt avec ses araignées géantes est lugubre et effrayante à souhait.

Diagon Alley (le chemin de traverse) est tellement réaliste qu’on aurait envie d’entrer chez Ollivander’s pour s’équiper en baguette magique, chez Globus Mundi pour réserver notre prochain voyage après bien sûr avoir commandé un jus de citrouille au Chaudron Baveur.

À la fin de la visite, Yohannes et Axel vont bien sûr se choisir chacun une baguette magique et quelques souvenirs de cette visite enchantée.

Et quand on leur demande ce qui les a le plus marqué, Yohannes cite l’immense maquette du château de Poudlard incroyablement réaliste. Quant à Axel sa réponse est « tout !»

Jean-Félix, bénévole

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